Auteur/autrice : eden

Annonce de la Sélection de Dr Vicky Andema pour la bourse Mandela Washington Fellowship 2024

Nous sommes ravis d’annoncer que l’une de nos leaders, Dr. Vicky Andema, responsable du département Santé et Nutrition au sein d’EDEN World Foundation, a été sélectionnée parmi les 19 candidats de la RDC pour le prestigieux Mandela Washington Fellowship. Dr Victoire rejoindra le programme à LSU (Louisiana State University) aux États-Unis, où elle se concentrera sur le renforcement de ses compétences en leadership dans l’engagement civique.

Cette réalisation témoigne de ses efforts pour combattre la malnutrition aiguë chez les enfants à l’Est de la RDC, grâce à la farine pour bouillie d’EDEN « ABANA ». Son dévouement a eu un impact significatif, et nous sommes convaincus que la bourse MWF lui permettra de continuer à apporter des changements durables.

Nous tenons à exprimer notre profonde gratitude à Mandela Washington Fellowship et à l’Ambassade des États-Unis à Kinshasa pour cette incroyable opportunité.

Le Fondateur d’Eden World Foundation, Joan Bachoke reçoit le prix HAF/Patron pour la promotion des droits de l’enfant en RDC

Aujourd’hui marque une réalisation extraordinaire alors que notre Fondateur et Directeur GRACE JOAN BACHOKE , a été honoré avec le prestigieux prix HAF/Patron par WORLD’S Children’s Prize Foundation à Gripsholm Castle, en Suède, présenté par Sa Majesté la Reine Silvia de Suède elle-même !

World’s Children’s Prize 2023Foto: Christine Olsson

Ce prix a une tradition d’excellence, avec d’anciens mécènes tels que Sa Majesté la Reine Silvia, Stefan Löfven – Premier ministre de Suède, Nelson Mandela & Graça Machel, Desmond Tutu, et d’autres personnalités remarquables. C’est un témoignage de l’engagement exceptionnel de Joan en faveur des droits de l’enfant en RDC.

Célébrons cette occasion historique et réaffirmons notre engagement envers le bien-être et les droits des enfants partout dans le monde.

Eden (October 2023)

Bachoke Joan sélectionné pour la bourse Mandela Washington Fellowship

Nous sommes ravis d’annoncer que notre leader et fondateur, Bachoke Joan, a été sélectionné parmi seulement 18 individus parmi plus de 1 700 candidats de la RDC pour la très prestigieuse bourse Mandela Washington Fellowship for Young African Leaders. Cette bourse incarne l’engagement profond des États-Unis envers l’avenir de l’Afrique, car elle vise à promouvoir la compréhension mutuelle entre les citoyens américains et les peuples d’autres pays.

Lors de cette bourse exceptionnelle, BACHOKE Joan aura l’opportunité d’étudier le leadership en gestion publique à Howard University – Washington DC, également connue sous le nom de ‘The Mecca’. Fondée en 1867, l’Université Howard est une université renommée et distinguée, et une institution clé d’apprentissage qui a apporté une contribution remarquable à la croissance et à la prospérité économique de la communauté noire aux États-Unis. Elle a produit certains des esprits les plus brillants de l’histoire, notamment Kamala Harris, Chadwick Boseman, Taraji Henson et feu Tony Morrison, Thurgood Marshall, parmi tant d’autres.

Nous tenons à exprimer notre plus sincère gratitude à la mission américaine L’ambassade des États Unis, Kinshasa en RDC pour cette extraordinaire opportunité de réseauter, d’apprendre et de grandir avec de jeunes leaders d’Afrique. Nous sommes convaincus que Bachoke Joan apportera des contributions précieuses à la mise en œuvre des droits des enfants sur le continent africain, et nous sommes impatients de voir l’impact positif que cette bourse aura sur la RDC.

JIF 2023 : Eden World Foundation organise un salon de discussion sur l’accès des femmes et filles au numérique

Eden World Fondation vient d’organiser un salon de discussion sur le thème : « Pour un monde digital inclusif : innovations et technologies pour l’égalité des sexes ». A l’occasion, des représentants des organisations nationales et internationales, comme la Monusco, œuvrant dans les droits humains ont réfléchis sur la problématique d’accès au numérique et *l’égalité des sexes. Par la même occasion, cette organisation pour les droits des enfants est revenue sur ses réalisations et son approche de fonctionnement.

Au cours de cette activité des intervenants, experts dans différents domaines sont revenus sur les défis d’accès au numérique par des femmes, mais aussi sur  le thème en rapport avec la problématique d’égalité des droits.

Parmi des orateurs au salon de discussion : Mme Venantie BISIMWA de RFDP, Mme Chantal KIZUNGU de women for women, Esther ATOSHA Représentante Young Women Leaders for Peace au Sud-Kivu ou encore Daniella BAPOLISI.

Pour Mme Venantie BISIMWA du Réseau des Femmes pour la défense des droits et la paix, RFDP, les femmes devraient utiliser le numérique pour à des fins utiles, notamment s’épanouir ou encore l’utiliser pour leur vendre leurs compétences.   

« ….Au-delà de vendre les compétences ou produits, le numérique peut être utilisée pour consolider la paix, sensibiliser à une cohabitation pacifique. Cela demande notamment d’éviter des messages et attitudes de haine,… » fait savoir Venantie BISIMWA

De son côté, John BIARUNGI du Bureau Genre/ MONUSCU le numérique a un grand rôle dans la construction de la paix, de la transmission des valeurs positives. Néanmoins, il invite les femmes et toute la société de faire un usage rationnel du numérique.

« … Beaucoup de gens se sont servis du digital pour se faire un nom dans le monde. Il nous appartient aussi de voir comment bénéficier des avantages de la technologie de l’information et de la communication… »confie John BIARUNGU

Intervenante au salon, Mlle Esther ATOSHA invite les jeunes filles à bien utiliser le numérique afin de se cultiver et de nouer des relations utiles avec le monde extérieur.

« Avec le numérique, c’est possible aujourd’hui de décrocher un travail , d’obtenir une bourse d’étude. Moi par exemple, je suis mes cours en ligne grâce à l’utilisation de la nouvelle technologie de l’information et de la communication, NTIC » confie Esther ATOSHA

Cependant, celle-ci fustige le coût élevé du numérique en République démocratique du Congo, RDC.

Et face au défi d’accès à la NTIC, Daniella BAPOLISI propose que la création d’emploi chez les jeunes afin de leur permettre d’avoir des moyens pour se procurer des appareils, ou encore, des mégas.

Par ailleurs, celle-ci estime qu’il est aussi important de combattre l’analphabétisme des femmes et filles afin que celles-ci aient la facilité d’apprendre comment utiliser cette technologie.

Présentation d’Eden World Foundation et contexte de l’activité

La Directrice Régionale Adjointe d’Eden World Foundation,  Nzita Mavinga Clémence fait savoir que ce salon de réflexion est organisé par le programme « Eden Genre » dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes.

« Eden Genre » est un programme qui vise à faire valoir et faire entendre la voix de la jeune fille, de promouvoir ses droits et lutter contre toutes formes de violences faites aux femmes.

« Dans le cadre d’Eden Genre, nous avons lancé un centre d’encadrement de jeunes «  filles mères » victimes d’abus sexuels, âgées de 12 à 17 ans, dans la chefferie de KAZIBA. Elles sont formées dans divers métiers : coupe-couture, vannerie, leadership et entrepreneuriat » confie Nzita Mavinga Clémence

Dans la foulée,  elle fait savoir que leur organisation a aussi le programme : « Eden Scolarité » pour assister les enfants démunis et orphelins en frais et fournitures scolaires. Elle précise qu’au moins 850 enfants ont été scolarisés depuis 2028.

Sur la liste des programmes, elle indique le programme : « Eden Santé » pour promouvoir la santé et le bien-être de l’enfant par la commercialisation de la farine ABANA.

Enfin, elle fait savoir qu’il y a aussi le programme « Eden Justice » qui mène des plaidoyers, sensibilise sur les droits des enfants et forme des défenseurs des droits de l’enfant.

Signalons qu’Eden World Foundation axe principalement ses activités sur la promotion et le respect des droits de l’enfant, avec que la conviction que l’accès à l’éducation et à la santé sont deux objectifs du Développement Durable qui doivent changer toute la communauté.

Déo CIKURU

Sud-Kivu : L’organisation Éden World Foundation produit 4 défenseurs des droits de l’enfant

L’organisation Eden World Foundation vient de clôturer la formation de la cinquième édition des défenseurs des droits de l’enfant pour mener à bien la lutte au service des sans voix. C’etait lors d’une cérémonie tenue le dimanche 18 décembre 2022 dans la ville de Bukavu.

Durant 3 mois de formation, ces défenseurs des droits des enfants ont été outillés sur différentes notions sur la protection de l’enfant avec référence à la convention relative aux droits des enfants et la loi portant protection des droits de l’enfant en RDC,

Ainsi,ces jeunes défenseurs des droits des enfants ont été préparés à bien comprendre les problèmes auxquels les enfants sont confrontés pour parvenir à y apporter des solutions pour leur bien-être par des stratégies, en vue de mieux entreprendre des actions.

Pour clôturer cette formation, 4 défenseurs des droits humains ont défendu leurs travaux de recherche sur plusieurs thématiques dont : « l’utilisation des enfants dans les travaux lourds: cas de chantiers de construction par Brigitte Nabami, l’exploitation socioéconomique des enfants mineurs dans la ville de Bukavu, avec Munguakonkwa Matabishi Moïse, la protection en faveur des enfants migrants et réfugiés par Balezi Alika Perles et la situation des enfants accusés de sorcellerie par Asifiwe Gaël»

A cet effet, Balezi Alika Perles, jeune défenseure des droits de l’enfant, se réjouit de cette formation et remercie Eden World Foundation pour cette formation qui va l’aider à porter haut la voix des enfants.

« On est à Bukavu des enfants font de travaux lourds, tout cela va à l’encontre des droits qui sont prévus pour eux. On s’engage à dénoncer ces violations de droits mais aussi à faire dans la mesure du possible une collaboration avec les autorités compétentes pour que cela prenne fin ou diminuer. » 

Occasion pour Joan Bachoke, directeur et fondateur de l’organisation Eden World Foundation, de féliciter ces nouveaux défenseurs des droits des enfants avant de les inviter à travailler pour la cause des enfants.

« La vision d’Eden World Foundation repose sur les quatre grands principes de la convention internationale aux droits des enfants qui sont la non-discrimination, l’intérêt supérieur de l’enfant, la survie et le développement, la participation de l’enfant. ».

Et de poursuivre :

« Parmi les moyens d’action, nous avons la publication des magazines, bulletins, mémoires,(.… )La sensibilisation et formation des élèves des écoles primaires et secondaires,(… )En général, toute initiative propre à la création d’une société accueillante, protectrice et bienveillante pour les enfants,… »

Également, Eden World Foundation a profité de cette occasion pour présenter ses différents projets dont le centre d’encadrement des filles-méres à Kaziba(Formation en coupe et couture, l’alphabétisation, le tissage des paniers…) pour assurer l’autonomie de ces dernières.

Et aussi le projet de construction d’une école à Nyangezi pour contribuer à l’éducation des enfants démunis, grâce au système de parrainage. 

Ensuite le projet de production de la farine pour combattre la malnutrition des enfants.

Cette activité s’est clôturée par la remise des brevets aux nouveaux défenseurs des droits des enfants après débat avec les membres du jury et l’assistance venu pour la circonstance

En rappel, Éden World Foundation, est une organisation des jeunes, élèves et étudiants oeuvrant dans la promotion des droits des enfants depuis 2013 dans la province du Sud-Kivu.

Par Loni Irenge Joël pour le Réseau des journalistes Amis de l’enfant ( RJAE/Sud-Kivu)

Les enfants sans foyers : faits et pistes de solutions


C’est qui un enfant ?

Selon la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), l’enfant est défini comme tout être humain de moins de 18 ans, sauf si la loi nationale accorde la majorité plus tôt. Tous les droits s’appliquent à tout enfant sans exception.

En effet, la déclaration de la loi n°09/001 du 10 janvier 2009 portant sur la protection de l’enfant, en son article 17, stipule que : “ Tout enfant a droit à un milieu familial, cadre idéal où ses besoins matériels, moraux et affectifs sont pris en compte pour son épanouissement ”.

De nos jours en ce monde, on constate que le nombre d’enfants sans foyers demeure considérable malgré l’existence des instruments et structures œuvrant pour la protection et la sécurité de l’enfant. Depuis la nuit des temps, les enfants sans foyer et/ou famille d’accueil se voient confrontés à des situations particulièrement inconfortables en dépit de leur droit de bénéficier de protection et d’encadrement nécessaire.

Parlant de notre vécu quotidien, précisément à l’Est de la République Démocratique du Congo, la province du Sud-Kivu n’échappe guère à cette réalité.
Cependant, il sied de signaler que l’attention et la protection, signes d’amour que l’on peut porter à un enfant, jouent un rôle capital dans l’émancipation, l’autonomisation et le développement de ce dernier. Le cadre, par excellence, pour la transmission de ces éléments est la famille.

La famille est la première institution qui offre l’essentiel de l’éducation de base à l’enfant.

Malheureusement, tous les enfants ne bénéficient pas de ce privilège d’avoir une famille. Ce qui fait que nombreux s’égarent dans leur croissance à cause de l’absence de ce cadre dans lequel il se sent accepté et aimé. Et qui est un pont dans son intégration sociale.

Quid des enfants sans foyer

Par « enfant sans foyer », nous voyons toute personne mineure (-18 ans) qui est dépourvue d’un cadre familial pour telle ou telle autre raison. Le terme s’applique aussi aux enfants de la rue.

« Les enfants de la rue » sont ceux pour qui la rue est un milieu de vie prédominant. A cet effet, il nous semble préférable d’utiliser l’expression ‘’ Enfants en Situations de Rue ‘’ (ESR), ceci afin de souligner que le problème n’est pas situé simplement chez les enfants mais dans les situations à travers lesquelles ces enfants se retrouvent dans la rue. (Vogt, 2016)

Quelles en sont les causes et origines ?

Pour comprendre la situation des enfants sans foyers, il revient à discerner les éléments souches qui s’avèrent être les racines même du problème.

Le phénomène des enfants en situations de rue est dû à diverses causes, à savoir des causes économiques, sociales et politiques, qui sont interdépendantes d’où nous pouvons citer :

  • Les conflits armés et l’Instabilité politique
  • La passivité des Institutions nationales spécialisées dans la prise en charge des enfants sans foyer
  • L’abandon des responsabilités parentales et la situation de pauvreté
Comment y remédier ?

Les enfants sans foyer font partie des personnes en situation difficile et nécessitent alors une attention particulière.

L’objectif n° 8 du Sommet Mondial pour les enfants, stipule que :

“Les pays doivent assurer une meilleure protection aux enfants se trouvant dans des circonstances particulièrement difficiles et s’attaquer aux causes fondamentales de ces situations”.

Comme pistes de solutions, nous pouvons suggérer :

  • La réinsertion sociale des enfants en situation de rue
  • La conscientisation des personnes sous-informées et la lutte contre le mariage précoce
  • L’amélioration des Institutions nationales spécialisées dans la prise en charge des enfants sans foyer
  • Le maintien de la paix dans les régions rurales et urbaines

Pour clore, nous lançons un appel d’appui par les ONGs, des agences internationales et/ou des partenaires locaux pour faire face à ce phénomène. Par le concours de toutes les structures qui luttent pour les droits de l’enfant, la mise en place d’une stratégie nationale de réinsertion serait capitale pour définir les modalités des actions à entreprendre.

Auteur de l’article : Joseph Vunanga – Eden World Foundation

Photo: capturée en RDC par Julien Harneis (CC BY-SA 2.0).

JIJF 2020: Journée internationale de la jeune fille

« Ma voix,l’égalité pour notre image » est le thème de la journée internationale de la jeune fille de ce dimanche 11 octobre 2020. Une journée qui prône l’intégrité de la jeune fille dans nos sociétés autrefois discriminatoires pour des personnes dites vulnérables.
La voix des femmes,en l’occurrence celle des jeunes filles a longtemps été étouffée par ceux qui, même aujourd’hui, croient posséder le monopole de la parole, de l’intelligence et de prise des décisions au détriment de celles jugées  » vulnérables ». Oui, dans leur nature les femmes sont douces et sensibles mais cela n’est pas synonyme de faiblesse. Cette nature ne doit pas conduire à une privation de leurs droits en tant que femmes, mais elle doit plutôt susciter une attention particulière de la part de toute personne ayant une reconnaissance de leur grande valeur et rôles à jouer dans la communauté.
La sensibilité et la douceur de la femme ne sont pas des faiblesses telles que perçues par nombreux, au contraire la source même de sa force, qui, une fois exprimée, ne laisse pas le monde indifférent.
Les femmes ont besoin d’être comprises, valorisées et aimées pour remplir parfaitement les tâches auxquelles elles sont appelées à accomplir, et mener ainsi une vie épanouie et pleine de sens.
Ces tâches ne se limitent pas à procréer et uniquement procréer, mais à contribuer de différentes manières à l’évolution positive de nos sociétés et du monde de manière générale. Ces tâches ne sont aucunement travailler et vivre dans l’ombre, mais d’éclairer le monde et le bercer.
La femme est l’éducatrice, la conseillère, la battante et surtout porteuse de l’humanité.

Auteur

Charlène Bisimwa

Présidente EDEN GENRE

Bachoke Joan, un des boursiers de Chevening Awards 2020-2021

Le Directeur Général et Fondateur de l’organisation EDEN World Foundation, Monsieur GRACE Bachoke Joan a été sélectionné pour la prestigieuse bourse d’étude de Chevening Awards du gouvernement britannique.

Chevening est un programme mondial de bourses d’études du Gouvernement britannique qui offre aux futurs dirigeants une chance unique d’étudier au Royaume-Uni. Neuf boursiers ont été sélectionnés cette année pour représenter la République Démocratique du Congo.

Financées par le ministère britannique des Affaires étrangères, du Commonwealth et du développement (FCDO) et ses organisations partenaires, ces bourses permettent à des leaders émergents remarquables du monde entier de suivre un programme de master dans le domaine de leur choix, dans une université britannique.

Ambitieux et dotés de qualités de leaders, les boursiers Chevening ont à leur actif un solide parcours universitaire et la capacité réputée de se hisser à des postes de premier plan dans leur pays, dans des domaines variés.

Mr. Joan va poursuivre ses études (Master) en Droits Humains, Culture et Justice sociale à Goldsmiths, University of London et remercie tous les défenseurs des droits de l’enfant, les parrains, les partenaires d’EDEN WF ainsi que toute autre personne ayant toujours lutté en faveur des enfants vulnérables en RD Congo.

L’appel à candidature pour l’année académique 2021-2022 est ouvert du 3 septembre au 3 novembre 2020. Pour postuler, prière de cliquer sur www.chevening.org/apply

EDEN WF/Rédaction

JEA 2020 : Tous contre les violations des droits l’enfant

L’humanité célèbre la journée de l’enfant africain en cette période où le monde est touche par la pandémie de la maladie à corona virus. Occasion pour l’organisation Eden World Foundation de plaider pour la protection des enfants contre toute forme de discrimination.

Dans un message dont copie nous est prévenue, cette organisation déplore les violences sous toutes ses formes à l’égard de l’enfant pendant cette période de la Covid19 : violence physique, psychologique ou sexuelle.Ces violences qui privent à l’enfant de la jouissance de ses droits.

Occasion pour Joan Bachoke,directeur d’Éden World Foundation d’appeller les autorités à prendre des mesures qui s’imposent pour favoriser le respect des droits de l’enfant.

« Les enfants sont la raison d’être d’EDEN World Foundation. Le thème de cette année 2020 qui est « Accès à une justice adaptée aux enfants en Afrique » doit nous inciter au respect de droits de l’enfant et à sa protection contre les mauvais traitements. Aucun enfant ne peut être privé de la pleine jouissance de ses droits fondamentaux peu importe son âge, sexe, sa religion, sa race, sa langue. Nous invitons le gouvernement à insister sur ce point, à prendre des mesures favorisant le respect du droit face aux violences sous toutes ses formes à l’égard de l’enfant» Indique-t-il

Ceci avant d’indiquer que la journée de l’enfant africain commémore la marche de 1976 à Soweto en Afrique du Sud où plusieurs élèves africains avaient été fusillés dans la rue pendant qu’ils protestaient contre la mauvaise qualité de leur éducation scolaire et exigeaient que leur doit à recevoir un enseignement en langue locale soit pris en compte.

En rappel, EDEN World Foundation est une organisation de droit congolais qui travaille dans le cadre de la défense des droits de l’enfant conformément aux textes de la convention internationale aux droits de l’enfant (C.D.E) et la protection de l’enfance selon la loi congolaise.

Par Loni Irenge Joël